Transfuser les patients anémiés après un infarctus permettrait de réduire de moitié le risque de décès dans les six mois suivant l’accident cardiaque, selon une étude publiée dans la revue scientifique Circulation.
Transfuser les patients anémiés après un infarctus permettrait de réduire de moitié le risque de décès dans les six mois suivant l’accident cardiaque, selon une étude publiée dans la revue scientifique Circulation.