Infidélité : découvrez les prénoms les plus fréquemment impliqués

il y a 12 heures 2

On dit souvent que l’infidélité n’a pas de visage. Mais si elle avait un prénom ? C’est la question (un peu taquine) que s’est posée Gleeden. La plateforme de rencontres extraconjugales a mené une étude sur les prénoms les plus souvent associés à l’infidélité. Résultat : certains prénoms reviennent bien plus fréquemment que d’autres… Et ça risque de piquer l’égo de quelques-uns.Alors, faut-il se méfier de tous les Patrick, Julie ou François qui croisent votre chemin ? Pas forcément. Ces résultats ne sont pas une science exacte, mais ils révèlent des tendances étonnantes basées sur les profils des membres de la plateforme.Comme souvent, la sociologie flirte ici avec un brin d’humour… Mais aussi quelques vérités intéressantes. Que disent vraiment ces données ? Et surtout, pourquoi certains prénoms se retrouvent-ils plus que d’autres sur le banc des accusés de l’adultère ? Décryptage, sans jugement, mais avec curiosité.

Des Patrick, Stéphane et Pierre moins fidèles que les autres ?

Du côté masculin, certains prénoms sont visiblement plus enclins à vivre des aventures hors du couple. En tête du palmarès : Patrick, Stéphane, François et Pierre. Selon les données de Gleeden, ces prénoms sont les plus représentés chez les hommes inscrits. Une simple coïncidence ? Pas si sûr.Ces prénoms ont souvent été très populaires dans les années 60 à 80. Il s’agit donc d’hommes aujourd’hui âgés de 40 à 60 ans… Une tranche d’âge où les questions de routine, d’ennui ou de crise de la cinquantaine peuvent refaire surface. Cela pourrait expliquer en partie cette surreprésentation. Rien à voir alors avec le prénom en lui-même.

Pexels @Ron Lach

Et chez les femmes, attention aux Hélène, Julie et Catherine…

Côté féminin, les prénoms qui ressortent sont Hélène, Julie, Anne et Catherine. Ces prénoms sont également très répandus chez les femmes de plus de 35 ans… Ce qui semble être la majorité du public concerné par l’étude. Là encore, pas de déterminisme magique dans le prénom, mais des profils socio-émotionnels qui se rejoignent.Certaines femmes, souvent engagées depuis longtemps dans une relation stable, peuvent ressentir le besoin de se redécouvrir, de retrouver une forme de légèreté. Voire de réaffirmer leur pouvoir de séduction. Ce n’est donc pas une question de prénom inscrit à la naissance, mais de contexte personnel et de trajectoire affective.

Si cette étude a le mérite de faire sourire (ou grimacer), elle ne doit pas être prise au pied de la lettre. Les prénoms listés reflètent avant tout des tendances générationnelles plus que des traits de caractère. En clair, ce n’est pas votre prénom qui vous rend infidèle, mais plutôt votre histoire, vos choix, vos frustrations et vos envies non dites.Et si finalement, la vraie question n’était pas "comment tu t’appelles ?", mais "comment tu aimes ?".

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