À la barre lors du procès de Joël Le Scouarnec, jugé pour près de 300 viols et agressions sexuelles, Alexandra, sa nièce et première victime, est revenue sur la figure de notable insoupçonnable qui se cachait derrière le pédocriminel et s'est interrogée sur les failles qui ont permis à l'ancien chirurgien de sévir aussi longtemps sans être inquiété.