Pour enrayer les violences et limiter la délinquance, plusieurs communes ont établi un couvre-feu pour les mineurs, notamment Nîmes dont le couvre-feu concernant les moins de 16 ans entre en vigueur ce lundi dans les quartiers sensibles de la ville. D'autres communes l'ont adopté depuis plusieurs années. Mais cette mesure est-elle vraiment efficace ? Une mesure qui divise. À l'instar de la municipalité de Nîmes (Gard) qui a instauré un couvre-feu pour les moins de 16 ans applicable dès ce lundi 21 juillet pour 15 jours renouvelables après une série de violences, d'autres communes ont déjà adopté des initiatives similaires contre la délinquance juvénile. À Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), l'édile PS Karim Bouamrane a interdit aux moins de 16 ans de circuler dans les rues entre 23h30 et 6h du matin. Du côté de Triel-sur-Seine (Yvelines), un couvre-feu a été instauré pour les mineurs, les obligeant à rester chez eux entre 23h ...