Victime de surentraînement après six années de cyclisme à haut niveau, la Sarthoise Bénédicte Ollier a arrêté le cyclisme, et se reconstruit aujourd’hui grâce au rugby amateur, un milieu qu’elle considère plus sain. « Si on ne savait pas encaisser la charge de travail, on nous disait qu’on n’était pas faite pour le haut niveau… », raconte-t-elle.