Du lundi au vendredi, Yann Barthès est aux manettes de "Quotidien" sur TMC entouré de sa bande de chroniqueurs. A cette occasion, le talk-show accueille divers invités. Dans la première partie, ces derniers viennent parler d'actualité. Puis, dans la seconde partie, ils laissent la place à des personnalités venant faire leur promotion. C'est pour cette raison que Catherine Deneuve a fait le déplacement, ce 19 février, sur le plateau de l'émission. L'actrice de 81 ans sera à l'affiche de Yōkai, le monde des esprits. Un long-métrage franco-japonais en salles le 26 février prochain.Celle qui présidera, également, la 50e cérémonie des Césars le 28 février a inspiré les chroniqueurs de l'émission et, notamment, Ambre Chalumeau. A l'occasion de sa chronique culture, la jeune femme de 27 ans s'est adressée à l’icône du cinéma français. Ainsi a-t-elle débuté : "On commence par un film qui sort aujourd'hui au cinéma et qui parle d'amis à vous, puisque vous faites partie d'un club extrêmement fermé qui [fait] que quand nous on voit [une photo de lui] on dit : 'C'est Mick Jagger, le chanteur des Rolling Stones, une immense rockstar' et vous, vous dites : 'Ah mais c'est le bon vieux Mick, comment il va depuis la dernière fois !'".Aïe, Aïe, Aïe... Justement, la star de Peau d'âne ne se serait JAMAIS dit ça et n'a pas manqué de le faire savoir. "Ah non non, je ne me dis pas : 'C'est le bon vieux Mick', jamais je ne dis ça !" a lancé la maman de Chiara Mastroianni et Christian Vadim. C'est alors qu'une photo de la légende du Rock présente au mariage de Catherine Deneuve et du photographe anglo-saxon David Bailey en 1965 a été projetée sur le grand écran du plateau. "Il a été témoin quand je me suis mariée à Londres. Mais ce 'bon vieux Mick', personne ne dira ça ! Quelque soit l'âge qu'il a, personne ne lui dira ça" a conclu la star.
Catherine Deneuve : l'actrice n'est pas du genre à avoir la langue dans sa poche
A 81 ans, la comédienne n'a plus rien à prouver alors quand quelque chose la dérange, elle le clame haut et fort. Ainsi, n'a-t-elle jamais caché détester la cérémonie des César et pourtant, le 28 février prochain, elle présidera la dite cérémonie à l'Olympia pour sa 50e édition. Alors, sur France Inter le 19 février dernier, elle a tenté de justifier son choix."Autant j’aime faire des films, j’aime le cinéma, autant le théâtre, la scène c’est très différent. Même, là, les César…" a lancé celle qui enchaîne les tournages avant d'ajouter : "Ce ne sera pas long". Pour rappel, la mère de famille n’a pas mis les pieds sur le tapis rouge des César depuis 2011 et sa nomination pour son rôle dans Potiche. Quand elle a été nommée en 2014 (pour Elle s’en va), en 2015 (pour Dans la cour) et en 2016 (pour La tête haute), elle n’a pas souhaité se déplacer.Cette fois, elle fera donc une exception. "J’ai changé d’avis juste pour cette soirée-là" a-t-elle indiqué à nos confrères du service public. D'ailleurs, au départ, elle "avait dit non". "Je ne voulais pas y aller". "Ça fait très longtemps que je ne vais plus aux César. Je n’étais plus du tout d’accord depuis longtemps. J’ai connu les César aux débuts (...) Ça s’est aggravé d’une façon pas acceptable, sur le fond des choses. C’était tout le système, toute l’organisation que je ne trouvais pas assez sérieux" a-t-elle lancé. Pour rappel, l'octogénaire a été récompensée aux Cesar en 1981 pour Le dernier métro et en 1993 pour Indochine.