L’un des deux chercheurs marseillais du CNRS qui avaient lancé des bouteilles d’azote liquide contre le consulat de Russie à Marseille, fin février, a vu sa peine assortie du sursis ce lundi 26 mai. En première instance, il avait été condamné à huit mois de prison ferme, peine qu’il purgeait depuis sous bracelet électronique.