Suite à un différend avec le rappeur Kalash par rapport à la garde de leurs enfants, Ingrid Littré vient de passer plusieurs heures en garde à vue. En effet, l’ex-candidate au concours Miss Monde aurait ignoré une convocation devant le tribunal datant du 24 juillet dernier.Selon nos confrères de Martinique La Première, celle-ci refuserait de coopérer avec les policiers et notamment indiquer où se trouvent ses enfants. L’ex-avocate d’Ingrid Littré, Catherine Marceline, indique via un communiqué de presse que la mère de famille aurait refusé de remettre ses enfants au rappeur "en dehors des modalités fixées par leur jugement de divorce".
L'ancienne compagne du rappeur Kalash est sortie de garde à vue
Le rappeur Kalash aurait finalement pu les récupérer neuf jours après la date prévue du 15 juillet. Catherine Marceline en profite pour rappeler que "la loi et la jurisprudence prévoient que, passé la première journée, celui qui ne vient pas récupérer ses enfants a renoncé à son droit". Néanmoins, la garde à vue de l’ancienne compagne du rappeur Kalash serait enfin terminée. Ce mardi 29 juillet 2025, au matin, plusieurs dizaines de femmes se sont rassemblées devant l’hôtel de police du Lamentin à l’appel de Catherine Marceline, justement, dans le but de soutenir Ingrid Littré.Une action qui a visiblement porté ses fruits, la garde à vue de la mère de famille étant levée. Nos confrères de France Info Martinique indiquent toutefois qu’elle pourrait se faire convoquer ultérieurement devant la justice.
Le coup de gueule de l'ancienne candidate à Miss Monde
En ce qui concerne les enfants de l’ancienne candidate à Miss Monde et ex-compagne du rappeur Kalash, se trouveraient en ce moment même auprès de la famille d’Ingrid Littré. Comme le relaient nos confrères de France Info Martinique, la mère de famille a souhaité se défendre à sa sortie de garde à vue. "J’ai toujours accepté, j’ai toujours arrangé Monsieur Valleray (Kalash de son vrai nom:ndlr) sur ses droits de visites et d’hébergement et, après beaucoup d’abus et retour des enfants dans un état physique et émotionnel non stable, j’ai uniquement décidé d’appliquer le jugement", a-t-elle assuré. Avant de poursuivre : "Là, ce n’est plus seulement la voix d’une femme que l’on veut faire taire, c’est une voix que l’on veut éteindre."