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Dès les premières pages, La vie sans fondement plonge le lecteur dans une expérience sensorielle brute : un homme se réveille dans une salle d’hôpital, la gorge sèche, le corps meurtri, la conscience floue. « Pas mort. Mais presque. » Débute alors un récit d’une introspection, où le narrateur oscille entre le rêve et le réveil, la fuite et l’assignation à résidence corporelle, le désir de vivre et le vertige de la décrépitude.