On vit une époque formidable. Capable, pour peu que l’on s’émeuve de la dégradation constante de l’écrit, de nous faire valoir, histoire de nous rassurer, que le fond compte autrement que la forme. Mais tout autant de s’attaquer aux mots plutôt qu’aux choses. Qu’importe le paradoxe, après tout, pourvu que l’on y gagne bonne conscience et paix de l’esprit !