Le délire chez Ferdinand Céline, plus qu’une technique, est le nerf de son écriture. L’homme se
définissait d’abord comme un styliste. Son écriture est légère, souple, gracieuse et se caractérise par
l’introduction de la langue orale et argotique mais aussi par le délire qui la hisse à un rang supérieur. Par Mohamed Elouardi.