Le président du tribunal judiciaire de Paris a dénoncé mercredi 23 juillet « l’opprobre jeté publiquement sur des magistrats » alors que Rachida Dati a appris hier son renvoi en procès pour « corruption » et « trafic d’influence » dans l’affaire Carlos Ghosn. La ministre de la Culture avait dénoncé des « magistrats qui refusent de faire leur travail conformément au code de procédure ».