Trois jours après le meurtre de Mélanie G., la ministre de l'Éducation nationale, Élisabeth Borne, a indiqué que chaque établissement devra se doter d'ici à la fin de l'année "d'un protocole de repérage et de prise en charge des situations de souffrance psychologique chez les jeunes". Mais ces mesures peinent à convaincre les spécialistes.