
J’étais chez des amis à Sisteron, lorsque j’ai appris l’horreur. Dans un petit village à une vingtaine de kilomètres de là, une fillette de 8 ans avait été sauvagement violée et assassinée. Mais plus bouleversant encore était la déclaration du procureur : deux hommes auraient avoué ce crime. Froidement planifié ! Le lendemain, je vis « La Provence » au kiosque à journaux. « Les monstres » était écrit en lettres de plusieurs centimètres de haut au-dessus de deux photos.