Jean-Pierre Farandou, patron de la SNCF, a partagé son inquiétude d'un week-end cauchemardesque du 8 mai pour les usagers. Les annulations se sont multipliées après l'appel à la grève dès le 6 mai du collectif des contrôleurs et d'autres corps de métiers, mécontents de leurs conditions de travail et de leur rémunération.