La proposition de loi adoptée le 18 juin 2025 par le Sénat prévoit d’accroître encore le nombre d’étudiants admis en deuxième année d’études de santé. L’objectif est louable : lutter contre les déserts médicaux. Mais les doyens des facultés de médecine alertent sur leur manque de moyens : « Les effectifs ont déjà beaucoup augmenté en dix ans. »