"Les rats quittent le navire", procès Pierre Palmade : après Jean-Marie Bigard, Pascal Praud charge Muriel Robin

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Ce 20 novembre 2024, Pierre Palmade est jugé devant le tribunal correctionnel de Melun. Et l'humoriste a reçu un témoignage d'amitié à quelques heures de son procès, au cours duquel il devra faire face à ses responsabilités, dans un terrible accident de la route sous drogues, qu'il a provoqué en février 2023.En effet, Jean-Marie Bigard a expliqué dans l'émission Face à Hanouna ce dimanche 17 novembre 2024, qu'il ne le reniait pas. Il a par ailleurs taclé Muriel Robin, pour son attitude si radicale envers Pierre Palmade. Il a estimé qu'elle pouvait aussi pardonner son ami de longue date. Et ce mercredi matin, Pascal Praud en a remis une couche.

Pascal Praud défend Pierre Palmade

Sans jamais nommer Muriel Robin, l'animateur de l'Heure des pros a taclé l'attitude de la comique. Il a d'abord lancé : "Une amitié qui ne peut pas résister aux actes condamnables de l’ami n’est pas une amitié", en citant le philosophe Alain. Et de mettre en relief la lâcheté de ceux qui se sont éloignés de Pierre Palmade, dans la tourmente : "'Courage, fuyons' est alors le mot d’ordre".

Il ironise en effet sur les suites de l'accident de Pierre Palmade. Et de condamner : "l’ami est devenu toxique. La proximité qu’il ou elle avait autrefois, quand l’ami brillait dans la lumière, la proximité qu’il ou elle mettait en scène, cette complicité devient un poison".

Pire encore, Pascal Praud voit dans l'abandon de Pierre Palmade une belle hypocrisie, car selon lui, son entourage ne pouvait pas ignorer les démons de l'humoriste.

Muriel Robin et les rats

Le journaliste a en effet estimé : "avant ce drame, ses amis connaissaient ses dérives, et elles n’entamaient pas leur amitié. C’était avant que la chose fût publique et que la peur d’être éclaboussé par l’affaire Palmade commande de prendre le large". Pour finir, l'homme fort de CNews a balancé : "Les rats quittent le navire, dit-on parfois. (…) 'Si vous cherchez la fidélité, achetez-vous un chien', disait Winston Churchill". Et de conclure sans oublier d'avoir bien sûr une pensée pour "les trois victimes" de Pierre Palmade. Elles "n’avaient rien demandé, et leur vie est aujourd’hui une souffrance" a-t-il soutenu.

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