Le Hezbollah "ne permettra à personne de le désarmer", a affirmé vendredi le secrétaire général du mouvement libanais pro-iranien, Naïm Qassem. Le président libanais, Joseph Aoun, a pour sa part déclaré mardi vouloir faire de 2025 l'année du "monopole des armes" aux mains de l'État.