Lio : révélations sur l’enterrement de sa soeur Helena Noguerra

il y a 1 semaine 7

Helena Noguerra est Louise Bartoli dans la série Nouveau jour. Elle sera diffusé à partir du 30 juin prochain sur M6. Et la sœur de Lio fait de drôles de confidences à Paris Match, ce 24 juin 2025. Elle qui donne la réplique à des jeunes, à la télévision, a découvert avec stupéfaction une génération en danger. En effet, elle a estimé : "On sent qu’ils ont grandi avec les téléphones et l’habitude d’être filmés".Et à tous ceux qui sont scotchés à leur téléphone, elle veut envoyer un message important, cette semaine.

Helena Noguerra et ses livres

L'actrice de 56 ans déclare : "Je voudrais que les jeunes sachent que leur avenir et leur liberté se jouent dans la lecture". Et d'ajouter : "Ils ne devraient pas y renoncer pour les réseaux sociaux qui essayent de leur manger le cerveau".

Et elle en sait quelque chose, parce que la lecture a sauvé Helena Noguerra. Comme elle l'expliquait à Léa Salamé en janvier 2024, sa passion pour les livres l'a préservée des prédateurs sexuels. Et ce, quand elle était mannequin.

Sur France Inter, elle s'était alors souvenue : "J’étais mannequin, j’ai commencé à 14 ans, mannequin femme, et donc j’étais dans ce monde-là, avec les Epstein et compagnie, sauf qu’on ne les identifiait pas".

Elle avait alors confié avoir été invitée "à Milan ou à New York, pour des week-ends dans des villas", qu'elle imaginait "avec des gros messieurs bedonnants avec de gros cigares, autour des piscines".

Heureusement, de son côté, elle "préférait lire", dit-elle. D'ailleurs, elle décrit : "j’ai même des images avec des Patrick Demarchelier, j’étais sur leurs genoux, parce que j’avais 15 ans, et ils avaient les mains en parlant sur mes cuisses, et moi j’avais un livre en main, et je lisais mon livre. C’est-à-dire que leurs mains sur mon corps n’étaient même pas là parce que j’avais un monde entre les mains".

Son hommage à Kundera

À présent, Helena Noguerra dévoile son souhait, à sa mort. Et c'est de reposer avec sa bibliothèque. En effet, elle assure : "Je veux un gros cercueil avec tous les livres que je n’aurais pas lu dedans, il faut que je les emmène là-haut".Et c'est la moindre des choses, pour les illustres auteurs qu'elle a aimés, et qui le lui ont bien rendu. En effet, elle cite notamment "L'insoutenable légèreté de l'être" de Kundera comme référence. Et de conclure : "je préférais passer mon week-end avec Kundera, et donc effectivement, je me suis rendu compte à postériori que la littérature m’a sauvée".

Lire l'article entier