À partir de ce lundi, le texte sur la fin de vie sera débattu à l'Assemblée nationale. Tandis que l’ancien Premier ministre Gabriel Attal a signé une tribune défendant l’aide à mourir, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, de son côté, a accablé le texte auprès des médias. La fin de vie sème la zizanie. Alors que le texte sur l’aide à mourir, sorti de la commission des Affaires sociales, sera débattu à l’Assemblée nationale à partir de lundi, ce dernier est toujours loin de faire l’unanimité. D’une part, Bruno Retailleau, le ministre de l’Intérieur, qui qualifie ce texte de «profondément déséquilibré», et symbole d’une «rupture anthropologique», comme il l’a déclaré au JDD. D’une autre part Gabriel Attal, l’ancien Premier ministre, à l’origine d’une alliance insolite avec la chanteuse Line Renaud, tous deux co-signataires d’une tribune en sa faveur. Celui qui préside le groupe macroniste Ensemble pour la République à ...