Alors que le jeu d’échecs retrouve une folle popularité en France, ce sport a du mal à se féminiser. Pourtant mixte, la discipline attire seulement 20 % de licenciées dans les clubs et certaines ont dénoncé la toxicité qui peut y régner, en 2023. Alors que la fédération assure traiter le problème avec force, des joueuses se bougent. À l’image de Mitra Hejazipour, Iranienne d’origine, exilée en France qui veut « créer les conditions d’une pratique plus accessible, plus juste ».