A travers une étude menée entre 2017 et 2019 sur 220 patients et publiée fin mai dans la revue scientifique The Lancet, le CHU de Nîmes a découvert que l’injection de faibles doses d’une molécule agissant sur le système immunitaire de patients atteints de la maladie de Charcot permettait de réduire leur risque de décès. Une maladie touchant près de 45.000 personnes en Europe. Ce samedi 21 juin marque la journée mondiale de la Sclérose Latérale Amyotrophique (SLA), plus connue sous le nom de maladie de Charcot. Une étude menée par le CHU de Nîmes et publiée dans The Lancet le 24 mai dernier a permis de donner un nouvel espoir aux patients atteints de cette maladie en réduisant drastiquement le risque de décès. L’essai clinique MIROCALS, lancé entre 2017 et 2019 auprès de 220 patients atteints de SLA, avait pour objectif d’évaluer «l'efficacité et la sécurité de faibles doses ...