Le gouvernement de Viktor Orbán, Premier ministre hongrois, mène depuis plusieurs années une vendetta assumée contre les droits des minorités sexuelles. Malgré l’adoption d’une loi interdisant la Marche des fiertés, en mars dernier, les organisateurs ne plient pas et maintiennent l’événement prévu ce samedi 28 juin dans la capitale. La posture réactionnaire de la Hongrie occasionne également des tensions avec le reste de l’Union européenne. Retour sur cet événement en sept questions.