Dans un entretien dans La Tribune Dimanche, Marine Le Pen dit ne pas croire que les juges iront prononcer une peine d'inéligibilité avec exécution provisoire contre elle. La cheffe de file du RN à l'Assemblée nationale est jugée dans l'affaire des assistants parlementaires du FN. Elle risque également cinq ans de prison, dont deux fermes, et 300.000 euros d'amende.