Marine Le Pen, son portable dans son soutif : la folle anecdote révélée au moment de son procès

il y a 1 semaine 3

À 96 ans, Jean-Marie le Pen serait actuellement à l’hôpital selon l’AFP. L'ancien président du Front national, serait en effet à l'hôpital pour y faire des "analyses". Selon nos confrères du Point ce séjour à l’hôpital serait la cause d'un "état de faiblesse général" que le médecin traitant du père de Marine Le Pen lui a prescrit ce séjour, par "souci de sécurité".À cause de ce problème de santé, l’ancien président du FN ne peut donc pas assister au procès des assistants parlementaires du Front national. Une expertise médicale ayant constaté "une profonde détérioration" de son état physique et psychique. Jean-Marie Le Pen a donc été décidé qu'il n'était pas en mesure ni "d'être présent", ni de "préparer sa défense".

Le siège du parti du Front national perquisitionné en 2016

D’ailleurs, le 17 février 2016, Marine Le Pen faisait parler d’elle au sujet de ce procès. Ou plutôt, lors de la perquisition du siège du Parti par les forces de l’ordre comme nos confrères de L’Express le révélaient. 

En effet à cette date, les policiers de l'office anti-corruption de la police judiciaire (Oclciff) perquisitionnaient le siège du Front national, à Nanterre, comme l’indique L’Express. Une perquisition suite à l’ouverture d’une enquête sur les assistants parlementaires des députés européens du parti comme évoqué plus haut.

Marine Le Pen cache son téléphone portable... dans ses sous-vêtements

Ces derniers, payés par l’Union européenne, mais pourtant soupçonnés d’avoir travaillé uniquement pour le FN. Lors de la perquisition, Marine Le Pen aurait filmé la scène. De fait, les enquêteurs auraient demandé à la présidente du groupe Rassemblement national à l'Assemblée nationale de leur remettre son téléphone portable d’après nos confrères. Celle-ci aurait alors refusé d’obtempérer et aurait alors glissé son téléphone portable… dans son soutien-gorge défiant "sur un ton provocateur", selon l’Express , le policier de venir le chercher. Les forces de l’ordre n’auraient bien évidemment pas souhaité interagir et auraient ainsi préféré fermer les yeux sur l’incident.

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