
Joseph Agostini n’en est pas à sa première psychanalyse de figures iconiques. Après avoir allongé Dalida sur le divan, il s’attaque cette fois à une autre diva – de la politique celle-là – en la personne de Marine Le Pen.
Joseph Agostini n’en est pas à sa première psychanalyse de figures iconiques. Après avoir allongé Dalida sur le divan, il s’attaque cette fois à une autre diva – de la politique celle-là – en la personne de Marine Le Pen.