
Le groupe américain est assigné en justice en France par des éditeurs et des auteurs français pour contrefaçon du droit d'auteur, et parasitisme. L'entreprise américaine est accusée d'avoir massivement utilisé des « œuvres sous droits, sans autorisation de leurs auteurs et éditeurs, afin d’entraîner son modèle d’intelligence artificielle générative ».