Confirmée par Michel Barnier au ministère de la Culture en septembre dernier, Rachida Dati traine pourtant une mise en examen pour « corruption passive » et « trafic d’influence passif par personne investie d’un mandat électif public ». Elle est soupçonnée d'avoir changé son mandat de députée européenne (de 2009 à 2019) en lobbying au service du groupe Renault-Nissan. Et pour le Parquet national financier, les éléments sont suffisamment sérieux pour faire l'objet d'un procès.