Invité de l’émission Legend, présentée par Guillaume Pley, Dominique de Villepin a offert un moment rare d’introspection et de recul sur les grandes heures du pouvoir, les coulisses de la politique… mais aussi les fantasmes et les théories conspirationnistes qui l'entourent.
Face à un journaliste curieux et direct, l’ancien Premier ministre s’est exprimé sans détour sur un épisode qui a marqué la mémoire collective : la mort tragique de Lady Diana, en 1997.
“C’est moi qui avais eu l’information en premier”
Alors que Guillaume Pley évoque les nombreuses rumeurs ayant circulé à l’époque — notamment l’hypothèse d’une implication des services secrets dans la disparition de la princesse — Dominique de Villepin révèle : "C’est moi qui avais eu en premier l’information sur la mort de Lady Di".
Une déclaration surprenante, prononcée avec calme et autorité, qui replace l’ancien ministre au cœur des premières heures qui ont suivi le drame. “Je suis bien placé pour savoir les rumeurs qui ont eu lieu après. La banalité de la vie, elle a lieu à tous les niveaux et à tous les âges. Donc oui, je sais à quel point il peut y avoir des fantasmes…” a-t-il ajouté.
De la tragédie à la théorie du complot
Avec un recul lucide, Dominique de Villepin aborde ensuite la montée du complotisme, qu’il observe avec une certaine gravité.“Le complotisme s’est beaucoup développé ces dernières années. Les réseaux sociaux jouent beaucoup avec ça. Mais vous savez, la réalité est souvent beaucoup plus prosaïque.”
Une réponse empreinte de sagesse, qui résonne comme un rappel à la prudence face à la désinformation et à la simplification du réel, à une époque où la vérité semble parfois noyée dans un flot de récits parallèles.En commentaires de la publication, les internautes, visiblement peu convaincus, se sont empressés de réagir : "Même si c’était le cas, il ne pourrait pas le dire…", "On ne comprend rien à ce qu’il dit, c’est de la bouillie", "Elle a été assassinée par la reine et ses sbires, car elle était enceinte de son amant, c'était un scandale insurmontable pour la royauté et pour Charles tout le monde le sait même les enfants" peut-on ainsi lire.