Nekfeu prend la parole pour la toute première fois après les accusations de viol et violences conjugales : ce qu’il répond à son épouse

il y a 3 semaines 3

"J’ai appris ce matin que mon ex-épouse, par le biais de son avocate Florence FEKOM, avait publié un communiqué entièrement mensonger et diffamant m'accusant de violences notamment sexuelles". Par ces mots, Nekfeu dément les accusations de la part de son ex-femme dont il fait l’objet.En effet, ce dimanche 3 novembre 2024, l’ex-compagne du rappeur a publié un communiqué, via ses avocats. Son ex-femme, dont l’identité reste inconnue, aurait déposé une plainte auprès des autorités, alléguant des violences psychologiques, sexuelles et physiques au cours de leur relation, qui aurait duré près de quatre ans.Celle-ci accuse également l’interprète du titre On verra de viols répétés à son encontre. Rappelons qu’à l’heure actuelle, l’artiste de 34 ans reste présumé innocent. En effet, à ce stade, Nekfeu n’a pas été reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés, et toute accusation doit être examinée avec rigueur dans le respect de ce droit.

Nekfeu sort du silence

Il a d’ailleurs décidé de prendre la parole ce lundi 4 novembre 2024. Comme le relaie le compte X News TV Real, le rappeur a en effet réagi par le biais de son avocat en publiant un communiqué dans lequel il dément fermement les faits dont on l’accuse."L’ensemble de ce communiqué est faux. Ces accusations ont déjà été classées sans suite par la Justice et reviennent au moment même où elle a été interpellée hier soir pour disparition inquiétante de mon fils de 3 ans", précise-t-il dans sa défense avant de préciser : "Elle est actuellement sous contrôle judiciaire depuis septembre et a interdiction d'approcher l'école de notre fils".Nekfeu se défend une nouvelle fois en indiquant que la plaignante, depuis la procédure de divorce qu’elle n’a jamais acceptée et qu’il a engagée il y a 3 ans, essaye de se servir de leur enfant pour "l’atteindre". L’interprète de On verra évoque notamment un chantage financier, et diverses autres menaces  comme le fait d’aller "voir les médias" s’il ne lui "versait pas somme importante".

Ce qu'il reproche à son ex-compagne

"C’est dans ce contexte qu'en mars 2024 la garde de notre enfant m'a été confiée. N'arrivant pas à parvenir à ses fins par la voie judiciaire, elle tente désormais en désespoir de cause de salir mon honneur en public. C'est pour celui de mon fils que je me sens obligé de me justifier à mon tour par un communiqué. J'avais déjà transmis à la Police tous les éléments prouvant mon innocence et les intentions malveillantes de mon ex-épouse, dont des échanges privés et des témoignages de sa propre famille confirment mes propos", précise Nekfeu dans la suite du communiqué.Avant de rappeler que son ex-compagne va se faire de nouveau juger en janvier 2025. "Je n'aurais jamais pensé un jour me retrouver dans cette situation humiliante et j'en suis d'autant plus attristé et dégoûté que je crois fermement qu'il faut redoubler d'efforts pour faire entendre la voix des femmes victimes de violence", regrette-t-il. En conclusion, Nekfeu a souhaité évoquer des propos qu’il avait tenus dans Quotidien il y a quelques années : "J’ai moi-même un jour dit avec aplomb qu'il n'y avait pas de fumée sans feu sur ce sujet, mais la vie m'a montré qu'en de rares occasions, d'autres motivations pouvaient entrer en jeu, c'est mon cas aujourd’hui".

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