Contrairement à une croyance tenace, ce ne sont ni le salaire élevé ni le prestige d’un poste qui rendent heureux au travail. C’est le principal enseignement d’une vaste étude menée par l’Université de Tartu, en Estonie, qui a analysé les données de 59 000 personnes exerçant 263 métiers différents. Publiée par New Scientist, cette recherche redéfinit les contours de l’épanouissement professionnel.