C’est un geste d’ouverture salué au Niger : une cinquantaine de personnes, civiles et militaires, ont été libérées ces derniers jours. Une décision prise à la suite des assises nationales de février, alors que la junte reste sous pression, neuf mois après le renversement du président Mohamed Bazoum. Si certains y voient un premier pas vers l’apaisement, d’autres réclament la libération de tous les détenus politiques, à commencer par l’ancien chef de l’État lui-même.