Le 16 novembre 2024, le chef de la diplomatie iranienne avait déclaré que la voix diplomatique demeurait possible mais "limitée" sur la question du nucléaire iranien, dont le flou du programme inquiète l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). L'Agence a décidé ce 19 novembre d'accentuer la pression sur l'Iran, par la menace d'une résolution.