C'était le 26 juillet 2024. Ce soir-là, sous une pluie battante, Paris recevait le monde à l'occasion des Jeux Olympiques d'été. Et ce sont Jamel Debbouze et Zinedine Zidane qui se sont chargés de l'ouverture de la cérémonie d'ouverture. Arrivé au Stade de France, en solo, l'humoriste portait la flamme Olympique à la main, quand il s'est retrouvé nez à nez avec son idole, le footballeur Zinedine Zidane. Dans le court métrage diffusé à la télévision, ce soir-là, le public éclatait de rire en écoutant son "oh Zizou Christ".
Jamel Debbouze sur ce symbole fort aux JO
Ce 24 novembre 2024, Jamel Debbouze est revenu sur l'évènement. Et il a expliqué sur RTL pourquoi c'était si fort pour lui d'être avec Zinedine Zidane.
Le mari de Mélissa Theuriau a révélé : "On s'est retrouvés, tous les deux l'un en face de l'autre, on a des parcours différents, on vient du même endroit. C'est-à-dire de la misère d'une certaine manière française. Lui à la Castellane, moi à Trappes".
Et d'ajouter : "Et on se retrouve là, d'un coup sur le toit du monde, en vérité. Parce que ces Jeux Olympiques, la terre entière les a vus. Et non seulement on était très très fiers de faire ça, très heureux de se revoir".
Il faut dire que les deux hommes se sont de nombreuses fois croisé, que ce soit sur un terrain de foot, ou lors de voyages, mais aussi et surtout dans une scène d'"Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre".
Une scène d'anthologie avec Zinedine Zidane
Retrouver Zinedine Zidane pour les JO ne fut pas seulement important pour Jamel Debbouze. Mais pour tout le monde. Le comique assure en effet : "Et à un moment, j'ai pas percuté tout de suite, mais au fur et à mesure, des gens que je croisais dans la rue, des Japonais, des Italiens, des Africains qui venaient me prendre dans leurs bras en me disant 'Zizou Christ, Zizou Christ'".
Pour conclure, Jamel Debbouze a estimé : "Et ouais, je suis très fier d'avoir participé à cette cérémonie pour tout ça, pour tous ces symboles".Quelques jours avant le coup d'envoi, Jamel Debbouze avait également participé au relai de la flamme olympique, dans les rues de la capitale. Depuis le 18ème arrondissement de la capitale, et au micro de France 2, il n'avait pas caché sa joie, pour cette deuxième fois. Jamel Debbouze avait alors révélé : "Je participe à l’histoire, je suis très, très heureux. Surtout ici à Barbès, où je suis né, ça me fait vraiment quelque chose. C’est différent de tout ce que j’ai fait".