Deux jours après son lancement, l’opération «Prison Break», visant à saisir les téléphones miniatures mis en circulation par un société chinoise et revendus en France par le fournisseur OPORTIK, affiche d’ores et déjà des chiffres rassurants. Un coup dur pour les détenus dissimulant des téléphones portables. Le mardi 20 mai, le parquet de Paris avait annoncé le lancement de l’ opération «Prison Break». Cette dernière, selon les mots du ministère public, vise à «saisir les téléphones miniatures mis en circulation par une société chinoise et revendus en France par le fournisseur OPORTIK». Deux jours plus tard, soit ce jeudi 22 mai, le ministère public a publié un premier bilan de cette opération, «conduite tant par la gendarmerie nationale, et notamment l’UNCyber, dans 62 établissements en France métropolitaine, que par la BL2C (Brigade de lutte contre la cybercriminalité, de la préfecture de police de Paris) dans les quatre établissements de la ...