Friedrich Merz, le chancelier allemand, a indiqué mardi que l'engagement des alliés à augmenter significativement leurs dépenses de sécurité n'était pas uniquement destiné à satisfaire les exigences de Donald Trump. Depuis son élection, ce dernier n'a cessé de réclamer qu'ils allouent au moins 5% de leur produit intérieur brut (PIB) à ce secteur.