
Ce mardi 15 avril, la justice française a confirmé que l'Arcom, le gendarme de l'audiovisuel et du numérique, était en droit de demander le blocage d'un site pornographique à un fournisseur de service internet, si ce dernier n'avait mis en place aucun dispositif de vérification de l'âge de ses visiteurs allant plus loin qu'une simple déclaration de majorité.