"Pays de profiteurs et de chouineurs", Géraldine Maillet : son compagnon Daniel Riolo s’en prend à une partie des Français

il y a 2 semaines 7

Daniel Riolo fait encore parler de lui cette semaine. Mais ce n'est pas pour une analyse footballistique sur la saison du Paris Saint-Germain. Le sujet qui l'anime, ce 10 juillet 2025, c'est l'absentéisme en entreprise pour cause d'arrêt de travail.Il a bondi de 41% en 5 ans selon une enquête de l'assureur Axa publiée en mars dernier. Et sur le plateau d'Estelle midi, le mari de Géraldine Maillet en a dit tout le mal qu'il en pense. Sans concession sur ce thème, il a déploré des arrêts abusifs. Et de déclarer : "La personne qui va venir me dire qu'il n'y a rien à dire sur ce chiffre, (...) qu'il faut chercher à comprendre pourquoi la personne n'est pas là, (...) moi je dis qu'on prend les gens pour des idiots".

Daniel Riolo étrille les fraudeurs

En effet, pour Daniel Riolo, "il faut arrêter de mentir". Et pour cause, dit-il, "si le Medef intervient sur ce sujet, c'est pas parce que tous les patrons sont des salauds comme le laisse entendre la tradition française. C'est qu'il y a quelque chose qui est anormal".

Dans sa démonstration, le journaliste a lié deux réalités : "On est les champions de l'impôt et de l'absentéisme". Et il en a déduit que le problème venait du fait que "le système permet à un tas de gens d'en profiter".

Aux fraudeurs, il a lancé : "ces histoires d'absentéismes répétés, il y a un abus monstrueux. Le nier, moi, c'est quelque chose que je ne comprends pas".

Sans filtre, il a alors balancé : "On est un pays de chouineurs, de profiteurs, il y a des abus, il faut arrêter avec les chouineries".

L'urgence d'une réforme

Et d'ajouter : "On est le pays de celui qui regarde dans l'assiette du voisin qui profite le plus, et à chaque fois qu'on essaye de remettre en cause et de dire qu'il faut que ça cesse, qu'il y a trop de gens qui essayent de taper dans la caisse, ils répondent 'oui, mais lui il fait pire'". Pour conclure, Daniel Riolo a pointé du doigt l'urgence d'une réforme. Tout en avouant : "comme tout le monde se regarde on ne trouve aucune solution et on avance pas".

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