La mort n’est pas un objet d’expérience et de connaissance, à la différence du mourir. Lorsqu’on en parle, c’est qu’on est vivant et lorsqu’elle nous arrache à la vie, on ne peut plus rien en dire. Elle est en cela un vrai mystère, sur lequel s’interroge Jacques Le Goff, professeur émérite et membre de l’Association pour le soutien des principes de la démocratie humaniste (ASPDH).