À l’occasion de la Journée mondiale de la tolérance le 16 novembre, instaurée par l’Unesco, Jacques Le Goff (1) définit cette vertu. Selon lui, il faut « la voir non comme une contrainte subie à corps défendant mais bien une chance de donner consistance à la vie démocratique, à travers la confrontation des idées et des options de vie individuelles et collectives ».