« En décidant d’attaquer l’Iran, Benyamin Netanyahou a considéré qu’il y existait en sa faveur un « alignement des planètes » unique. Notamment la présence à Washington d’un Président lui est favorable. L’Iran, lui, nourrit depuis 1979 une ambition dangereuse pour un régime aujourd’hui à bout de souffle. Il n’y a aucune empathie légitime pour les mollahs », souligne Dominique Moïsi, géopolitologue, conseiller spécial à l’Institut Montaigne.