Disparue des plateformes suite à des démêlés avec la justice, Poupette Kenza signe son grand retour. Mise en examen puis incarcérée pour "tentative d’extorsion de fonds en bande organisée" et "association de malfaiteurs", l'influenceuse compte bien revenir sur le devant de la scène et s'expliquer !Le 1er mai dernier, après un an d'absence, elle débarquait d'ailleurs sur Instagram pour annoncer la sortie prochaine de son livre De Poupette à Kenza, à paraître ce jeudi 22 mai aux éditions Plon.
"À mes enfants, à mon mari, à ma famille, à mes amis, à mes poupettes. J’ai tellement de choses à vous dire, tellement de choses que vous avez raté, tellement de sentiments que je n’ai pu partager avec vous. Tout ce temps ne reviendra jamais. Alors, j'ai décidé de figer le temps. Figer le temps avec ce livre. J’ai écrit chaque jour, chaque minute, chaque seconde. Rien n’a été plus dur pour moi que de vous écrire ce livre, mais rien ne m’a autant soulagé", écrivait-elle.
Poupette Kenza sans filtre sur son séjour en prison
En pleine promotion de ce nouveau projet, Poupette Kenza a récemment accordé une longue interview à nos confrères du Parisien. Au cours de cet entretien, la jeune maman s'est longuement confiée sur son séjour derrière les barreaux.
"Quand j’arrive en détention, je suis sûre que tout va s’arranger et que je vais très vite ressortir. Un agent dit même : 'Elle arrive avec le sourire, elle'. Je réponds : 'C‘est parce que c‘est provisoire'. Il rétorque : 'Elles disent toutes ça en arrivant'. Ça m’a fait un choc. Je me suis dit, et s’il avait raison… ? Quand on me proposait un plateau-repas, je refusais, persuadée que dans deux jours, je serai au restaurant. J’étais dans un déni complet. J‘ai ensuite été envoyée à la nurserie, réservée aux détenues enceintes", s'est-elle souvenue.Et Poupette Kenza d'ajouter : "J’étais à l’écart des autres détenues, dans une cellule bien plus luxueuse ; une sorte de studio avec une douche, une cuisine, un micro-ondes. Je pouvais aussi ouvrir la porte et discuter avec ma codétenue, une maman d‘une quarantaine d‘années qui venait d‘accoucher. Elle m’a dit qu’elle avait pris six ans de prison pour une bagarre ayant entraîné une infirmité, mais je pense qu’elle a menti. Elle m’a dit : 'Je me suis dénoncée à la place de mon ex-mari'". Des confidences qui risquent de faire jaser.