Poupette Kenza : nouveau rebondissement, la préfecture fait fermer son fameux salon de bronzage

il y a 5 jours 2

Décidément, la célèbre influenceuse Poupette Kenza ne cesse d'enchaîner les galères ces derniers temps. Et pour cause ! Ce vendredi 20 septembre, une mauvaise nouvelle lui a visiblement été notifiée par la préfecture de Seine-Maritime pour une raison bien précise. En effet, son salon de bronzage, O'Sun Time, vient d'être officiellement fermé. Selon les autorités, des suspicions de travail dissimulé seraient à l'origine de cette fermeture administrative. L'influenceuse risque jusqu'à une très grosse amende, dépassant plusieurs dizaines de milliers d'euros. Des ennuis judiciaires qui pourraient lui coller à la peau pendant encore un moment.

Poupette Kenza de nouveau face à la justice

C'est un scénario qui se répète et qui semble ne pas se conclure pour Poupette Kenza. Ce vendredi 20 septembre, la célèbre influenceuse au million de followers, a vu la justice la rappeler une nouvelle fois à l'ordre. En effet, alors qu'elle serait toujours en détention provisoire, Poupette Kenza se retrouve une nouvelle fois dans l'œil du cyclone. La raison ? Son salon de bronzage, située à Rouen et dénommé O'Sun time, vient d'être placé sous le statut de fermeture administrative par la préfecture de Seine-Maritime. Une question se pose alors : quels sont les faits reprochés à Poupette Kenza ? En réalité, de grosses suspicions de travail dissimulé pourraient être à l'origine d'une telle décision prise. Un premier contrôle des autorités aurait décelé plusieurs problèmes. "Des faits constitutifs de travail dissimulé par dissimulation d'emploi salarié", évoque, pour le moment, la préfecture de Seine-Maritime.

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Des salariés n'auraient pas été déclarés

"Une salariée n'était pas déclarée tandis que pour sept autres, sur des périodes entre juin 2022 et octobre 2023, il n'y avait pas de déclaration sociale", poursuit l'arrêté officiel publié par la préfecture de Seine-Maritime au sujet du salon de bronzage de Poupette Kenza. Au total, c'est une somme pouvant s'élever jusqu'à plus de 45 000 euros qui correspondrait aux préjudices en matière de cotisations sociales non réalisées par Poupette Kenza et son salon de bronzage. Pour l'heure, l'influenceuse n'a pas officiellement réagi à cette décision, et pas non plus auprès des autorités. Une attitude qui pourrait confirmer les torts ainsi reprochés à l'affaire commerciale de la mère de famille. Nul doute qu'elle devrait tôt ou tard donner signe de vie, et particulièrement en fonction de la suite donnée à cette affaire qui la touche de plein fouet.

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