
À l'image de ceux du Parisien Khvitcha Kvaratskhelia et de l'Intériste Federico Dimarco, adversaires en finale de Ligue des champions samedi, les protège-tibias des footballeurs ont largement rétréci au cours des dernières années. Plus qu'une préoccupation stylistique, c'est avant tout un bénéfice de confort, dont les risques, au niveau professionnel, sont réduits par l'évolution des façons de jouer et d'arbitrer.