Pourquoi les dernières fois sont-elles aussi prometteuses que les premières ? Une philosophe répond

il y a 6 heures 3
Gare Saint-Lazare un matin de janvier, le froid s’infiltre autant que la foule parisienne pressée. Au premier étage, le café Dalloyau réchauffe comme un nuage de lait, Sophie Galabru y patiente sur une banquette couleur chocolat. La philosophe boit un thé, sa paisibilité authentique détonne.
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