Arrivé en tête du premier tour de l’élection présidentielle, le candidat pro-russe Calin Georgescu a misé toute sa campagne sur le réseau social chinois, alimenté en messages anti-Ukraine et anti-Otan par une armée de trolls. Jusqu’à doubler les candidats des partis centristes au pouvoir, qui dénoncent une manipulation du vote et menacent de suspendre Tiktok.