Le procès des viols de Mazan se poursuit devant la cour criminelle de Vaucluse. L’examen des cas des sept derniers des 51 accusés a débuté en début de semaine. Ce mercredi 13 novembre, l’un d’eux a fait part de son amertume d’être, selon lui, injustement accusé d’avoir sexuellement agressé Gisèle Pelicot.