Après onze semaines d'un procès à la fois éprouvant, douloureux et difficilement supportable, les réquisitoires débutent ce lundi au procès des viols de Mazan. Alors que la plupart des accusés continuent de nier les actions qui leur sont reprochées, le parquet doit désormais individualiser ses réquisitions en fonction de la gravité des faits.