Le réquisitoire du parquet de Paris, qui s’est prononcé mercredi 13 novembre, pour une peine de cinq ans d’inéligibilité à l’encontre de la cheffe des députés RN Marine Le Pen a suscité le désaccord de l’ancien ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin. D’après lui, « combattre Marine Le Pen se fait dans les urnes, pas ailleurs ».