La psychiatre accusée au procès en Argentine sur les circonstances de la mort de Diego Maradona, s’est défendue ce jeudi 8 mai d’avoir « fait tout ce qu’elle pouvait », et toujours « dans l’intérêt du patient ». Elle était la première entendue parmi les sept professionnels de santé jugés depuis deux mois à San Isidro (au nord de Buenos Aires) pour négligences ayant pu entraîner la mort de l’astre du football.